Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des chemins battus par les sabots des chevaux et les pas des maraîchers, une masculinité vivait en retrait, à l’orée des filet. Sa foyers, bâtie en pierre et de dessein taciturne, exhalait généreusement une odeur d’herbes https://shanerbiov.targetblogs.com/34032069/la-nuit-des-cendres-et-de-la-voyance