Le vent hurlait par les hautes arles de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite auditeur de adversité, un moine s’éclairait à la clarté vacillante d’une chandelle. La fonds était emplie de l’odeur du parchemin traditionnel et de l’encre https://franciscoyrldu.blogpayz.com/33886097/le-bibles-des-âmes-errantes