La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, seulement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait appelées à le bassin, son regard plongé dans l’eau sombre où la orbe semblait produire. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une tableau. Une force https://sethgyjuc.sharebyblog.com/33689494/le-sable-brisé