Le soleil s’écrasait sur les pierres brûlantes du désert mexicain. Le vent soulevait des nuages de poussière qui s’écrasaient auprès de la carcasse rouillée d’une antique cabine téléphonique. Posée seule au borne d’une voie oubliée, elle ne figurait sur aucune carte officielle. Pourtant, tout dimanche à midi, une avertisseur brisait https://caidennjaoa.blogolize.com/la-souvenance-effacée-72961145