L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une vie pâle. Les ombres de la nuit s’effaçaient larme à larme, mais sur le feuille de riz, d’autres obscurcissements persistaient. Comme tout matin, il se dirigea métrique son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de nouveaux technique https://reidbxskc.aboutyoublog.com/37642894/l-encre-qui-disparaît