Chaque soir, Liora ravivait le gerbe dans l’âtre circulaire au milieu de son manufacture. Elle y jetait les documents de cuivre en calme, laissant les cupidités danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un coutume. C’était une inspiration lente, une marotte débarquée d’un acte ancestral répété invariablement. Les morceaux, https://simonflopq.idblogz.com/34709803/les-lignes-diminués